Étudiant de Sydney poignardé : le suspect avait des antécédents judiciaires

Par Jean Rivière
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Bâtiment du tribunal avec bande de police et marteau flou

ParisUn garçon est accusé d'avoir poignardé un étudiant de 22 ans dans une université de Sydney. Les autorités indiquent que le garçon a déjà fait face à des accusations. La victime, blessée au cou, a quitté l'hôpital dans la nuit. Selon la police, l'agresseur portait des vêtements militaires et a utilisé un couteau de cuisine pour l'attaque.

Le suspect avait des antécédents judiciaires. L'année dernière, la police l'a inculpé, mais le tribunal a abandonné les charges en raison de sa santé mentale. Il suivait un programme dirigé par le ministère des Communautés et de la Justice. Selon les informations, ce programme vise à aider les personnes à s'éloigner des idées extrémistes.

  • Un garçon avait été accusé l'année dernière d'avoir menacé de tirer sur des camarades de classe dans son école à Sydney.
  • Il avait également menacé de se faire du mal.
  • En février, un magistrat a rejeté ces accusations en raison de problèmes de santé mentale.

La police continue d'enquêter sur le motif et n'a pas encore porté d'accusations concernant la récente attaque au couteau. Cet événement s'inscrit dans un problème croissant de la violence juvénile en Australie, avec d'autres incidents similaires survenus récemment.

Début mai, la police de Perth a abattu un garçon de 16 ans. Celui-ci avait poignardé un inconnu sur le parking d'un magasin de bricolage, mais la victime a survécu. Deux ans plus tôt, le garçon avait déclenché un engin explosif artisanal dans les toilettes d'une école et avait suivi un programme de déradicalisation.

Un adolescent de 16 ans a été inculpé pour acte terroriste après avoir prétendument poignardé un évêque orthodoxe assyrien et un prêtre lors d'une messe à Sydney à la mi-avril. Les deux clercs ont survécu, et l'attaque a été diffusée en direct.

Ces situations révèlent des problèmes liés à la violence chez les jeunes et à la santé mentale en Australie. Les programmes de déradicalisation tentent de remédier à ces difficultés, mais les événements récents montrent que des défis subsistent.

La police et le Département des Communautés et de la Justice continuent leur enquête. Ils cherchent à comprendre les raisons derrière ces actes de violence. La communauté espère des solutions meilleures à l'avenir. La récente agression à l'université de Sydney met en lumière ces problèmes persistants.

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