Révélation choquante : Duterte utilisait un escadron de la mort
ParisLa découverte révèle des questions cruciales qui nécessitent une attention immédiate.
- L'absence présumée de mesures de responsabilité et de poursuites judiciaires concernant Duterte.
- Les conséquences pour les droits de l'homme aux Philippines.
- L'impact de l'aveu de Duterte sur les relations internationales, notamment avec des institutions comme la Cour pénale internationale (CPI).
Malgré les aveux de Duterte concernant ses actions graves, le système judiciaire philippin n'a pas pris de mesures contre lui. Aucune accusation n'a été portée contre lui aux Philippines en relation avec les décès dus à ses politiques de lutte contre la drogue. Lors d'une audience, Duterte a exprimé sa perplexité face à l'inaction du ministère de la Justice, malgré ses aveux publics. Ce manque de poursuites judicaires pourrait révéler des problèmes d'influence, de peur, ou peut-être un système judiciaire affaibli aux Philippines durant son mandat.
Sous la présidence de Duterte, de nombreuses décisions controversées ont été prises. Il a adopté une approche musclée dans la lutte contre la drogue, entraînant des milliers de décès. Il a fréquemment critiqué les droits humains, les médias qui lui étaient opposés, et ses adversaires politiques. Il a également réorienté la politique étrangère des Philippines en renforçant ses liens avec la Chine et la Russie, délaissant ainsi les alliés occidentaux traditionnels. Ce changement a suscité des inquiétudes quant aux futures stratégies des Philippines sur la scène internationale, surtout à la lumière des développements récents.
La sénatrice Leila de Lima, opposante acharnée de Duterte et ancienne enquêtrice sur les meurtres liés à la drogue, souligne que bien qu'il existe des preuves et des témoins, nombre d'entre eux ont longtemps eu peur de s'exprimer contre lui. Elle réclame justice en soulignant la nécessité de résoudre les problèmes de droits humains et s'interroge sur la raison pour laquelle ces actions n'ont pas été arrêtées plus tôt. La Cour pénale internationale (CPI) reste l’une des rares organisations à examiner ces questions, ce qui montre l'importance de l'intervention internationale pour tenir les coupables responsables et souligner l'urgence d'une attention et d'une action mondiale sur les abus des droits humains.
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