Des manifestants pro-palestiniens perturbent la sécurité du parlement australien
ParisDes manifestants pro-palestiniens ont pénétré dans le Parlement australien et ont déployé des banderoles. Cette violation de la sécurité a conduit à des mesures plus strictes.
Voici ce qui s'est passé :
- Quatre manifestants ont participé à la démonstration.
- Ils ont affiché des banderoles pro-palestiniennes à l'intérieur du Parlement.
- Ils sont accusés de violation de propriété.
- Les manifestants sont interdits d'accès au Parlement pendant deux ans.
La manifestation a entraîné le verrouillage du Parlement. Les mesures de sécurité ont été renforcées. Le public n'a pas été autorisé à entrer dans les tribunes de l'Assemblée nationale et du Sénat.
Le président de la Chambre, Milton Dick, est inquiet. Il leur a demandé de renforcer la sécurité. La police enquête sur la manière dont les manifestants ont pénétré dans une zone interdite.
Le leader de l'opposition, Peter Dutton, a demandé des explications sur la manière dont les manifestants ont pu entrer. Il a qualifié leur message d'antisémite et a insisté sur la gravité de l'événement, affirmant que les images seraient diffusées à travers le monde.
Plus tôt cette semaine, la sénatrice débutante Fatima Payman a soutenu une motion visant à reconnaître la Palestine en tant qu'État. Cette proposition émanait d'un parti minoritaire, et en la soutenant, elle est allée à l'encontre de ses collègues du gouvernement. Le gouvernement australien ne reconnaît pas officiellement la Palestine comme un État. Il soutient une solution à deux États, souhaitant qu'Israël et un futur État palestinien coexistent pacifiquement dans des frontières convenues.
La sénatrice Payman a démissionné de son poste au gouvernement pour devenir députée indépendante. Elle a critiqué le gouvernement pour son indifférence face à la situation et remis en question la direction prise par son parti.
La police envisage d'inculper les quatre manifestants pour intrusion. De plus, il leur est interdit d'accéder à l'Assemblée Nationale pendant deux ans. Cet événement soulève des questions sur l'efficacité de la sécurité de l'Assemblée Nationale.
La fermeture a touché de nombreuses personnes, les empêchant d'accéder au bâtiment en raison d'un problème de sécurité. Les autorités révisent maintenant les règles de sécurité pour éviter que cela ne se reproduise.
Le Premier ministre Albanese et d'autres responsables ont affirmé que les manifestations doivent être pacifiques et respectueuses de la loi. Ils ont insisté sur le fait que ces rassemblements ne doivent pas troubler l'ordre public ni enfreindre les règles de sécurité.
La manifestation et ses conséquences ont lancé un débat sur la perception du conflit israélo-palestinien par le gouvernement australien. Cela a également mis en lumière des désaccords au sein du gouvernement et la nécessité de politiques claires sur des questions internationales cruciales.
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