Les procureurs français abandonnent l'accusation de 'complot terroriste' dans le procès du professeur décapité
Accusations réduites: le procès des complices présumés d'un enseignant décapité en France évolue.
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ParisLes personnes jugées comprennent aussi :
- Brahim Chnina, un père d'élève, qui a diffusé de fausses informations.
- Abdelhakim Sefrioui, un activiste islamiste, qui a posté des vidéos critiques.
Tous les deux sont en détention provisoire depuis quatre ans. Les autorités affirment qu'ils ont provoqué un climat de haine menant à l'assassinat. Les accusations suggèrent qu’ils visaient à désigner des cibles et à créer un sentiment de haine. Paty avait utilisé les caricatures pour discuter de la liberté d'expression, un geste polémique qui a suscité de vives réactions en France. Les événements ont suivi la republication par Charlie Hebdo des mêmes caricatures, déclenchant une série de tensions liées à la liberté d'expression et la religion.
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