Macron exclut un Premier ministre de gauche et prolonge les négociations pour sortir de l'impasse
Macron rejette un gouvernement de gauche et entame de nouvelles négociations pour résoudre le blocage politique en France.
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ParisCela arrive après des élections en juillet où une alliance de gauche a obtenu le plus de sièges. Cependant, cette alliance n'a pas assez de sièges pour gouverner seule. Macron a rejeté les revendications de gauche après avoir discuté avec Marine Le Pen et d'autres dirigeants politiques.
Voici quelques réactions :
- Le coordinateur national de LFI, Manuel Bompard, a qualifié les propos de Macron de "coup anti-démocratique inacceptable".
- Jean-Luc Mélenchon, chef de LFI, appelle à une "réponse ferme et forte" incluant une "motion de destitution".
- Fabien Roussel, dirigeant du parti communiste, appelle à une "grande mobilisation populaire".
- Marine Tondelier des Verts dit que "le peuple doit se débarrasser de Macron pour le bien de la démocratie".
Macron garde Gabriel Attal en tant que chef de gouvernement par intérim. La pression s'intensifie car le délai pour présenter un projet de budget pour 2025 approche. Les partis de gauche voulaient que Macron nomme Lucie Castets comme Premier ministre, mais cela a été refusé.
Macron critique le programme de dépenses élevé du NFP et répète que la LFI est "extrême".
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