Les femmes migrantes subissent une 'double épreuve' en dénonçant les abus sexuels en France
Les migrantes en France confrontées à la victimisation secondaire lors de la dénonciation d'abus sexuels.
Temps de lecture: 1 minute
ParisLe rapport d'Amnesty souligne que les femmes migrantes hésitent à signaler les violences à cause de :
- Barrières linguistiques sans interprète disponible.
- Soupçons injustes de mentir pour obtenir des papiers.
- Risques d'arrestation et de détention par la police.
En 2023, une étude de The Lancet a révélé que le risque de viol pour les migrantes est 18 fois supérieur aux autres femmes en France. Amnesty recommande des formations spécialisées pour les forces de l'ordre afin de traiter ces affaires sans préjugés raciaux ou sexistes. Les ONG espèrent des réformes, mais restent concentrées sur des efforts préventifs. Voici quelques options déjà disponibles pour les victimes :
- Signaler les abus dans les hôpitaux.
- Recourir aux refuges pour femmes.
La situation souligne la nécessité de mesures plus efficaces pour protéger toutes les femmes en France.
Partager cet article
Commentaires (0)
Poster un commentaire